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Noms de lieux * Anvioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

Bro Dreger

Trégor

Pederneg

Pédernec

pajenn bet digoret e 2003 page ouverte en 2003     * forum du site Marikavel : Academia Celtica dernière mise à jour 25/11/2021 20:43:06

Définition : commune de la Bretagne historique, en Trégor / Bro-Dreger; évêché de Tréguier.

Aujourd'hui dans la région économique dite "de Bretagne", département des Côtes d'Armor, arrondissement de Guingamp; canton de Bégard, sur le Jaudy, ruisseau de Saint-Gonery, ruisseau de Run ar Spern

Code postal : 22140 et 22540

Superficie : 2704 ha.

Population : 4000 'communiants' (y compris Moustéru et Tréglamus), vers 1780; 3003 hab. vers 1860; 3173 hab. en 1878; 3143 hab. en 1881-1886; 3066 hab. en 1890; 1629 hab. en 1968; 1527 hab. en 1978-1985; 1664 hab. en 1982; 1633 hab. en 1990; 1654 hab. en 1999; 

Logo :  la butte verte représente le Ménez-Bré, point culminant du Trégor (301 mètres), au sommet duquel se trouve la chapelle saint Hervé, et au pied de laquelle coule la rivière du Jaudy.

Paroisse : église sous le vocable de saint Pierre.

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carte J. Rigaud. 1890

Histoire :

A l'époque de l'indépendance gauloise, puis durant l'empire romain, ce territoire fait partie de la cité des Ossismes, dont la capitale est Vorgium / Carhaix, située au centre géographique de la cité. 

De façon plus précise, le territoire de Pédernec se trouve en Pagus Tricurius > Bro Dreger / Trégor. 

Il fait partie de la dotation faite par l'empereur Maxime (Magnus Clemens Maximus Augustus) / Maxen Wledig, à son beau-frère, le Britto-romain Conan (Mériadec), vers 385. Il fait donc ainsi partie du premier 'royaume' breton de Bretagne armoricaine. 

A partir de l'organisation de la la Bretagne armoricaine, fin Vè siècle / début VI è siècles, le territoire de Pédernec fait partie de la paroisse bretonne primitive de Pédernec, successeur probable d'un fundus gallo-romain, qui englobe aussi : Tréglamus et Moustéru.

L'ensemble fait patrie intégrante du Trégor.

* Ogée (1780) : Pédernec; sur un coteau et sur la route de Guingamp à Lannion:; à 4 lieues au S. de Tréguier, son évêché; à 28 lieues
de Bennes, et à 1 lieue 3/4 de Guingamp, sa subdélégation. Cette paroisse ressortit à Lannion, et compte 4,000 communíants, y compris ceux de Mousterus et de Tréglamus, ses trèves. La cure est à l'alternatíve. La montagne de  Brée, une des plus hautes de la province, est dans ce territoire. Il se tient sur le sommet de cette montagne plusieurs foires par chaque année, auprès d'une chapelle. Cet endroit est fort renommé dans l'Histoire. Les évêques de Bretagne s`y assemblèrent pour prendre des mesures contre Conobre, comte de Vannes, dont les crimes inspiraient tant d'horreur qu'on lui donna l`épithète de maudit, le maudit Conobre. Conobre, fils de Hoël-le-Grand, mort en 545, était comte de Vannes et de Léon. Il avait quatre frères, Hoël, Bndíc, Varocli et Maclían, avec lesquels il fut obligé de partager les États de son père; mais l'ambition qui le dévorait le rendit insensible à la voix de la nature, et il résolut de se défaire de ses frères : il commença par Hoël, qu'il tua en 547, et épousa sa veuve; mais s'étant aperçu qu'elle était enceinte, il la fit mourir. ll fit subir le même sort à Budic et à Varoch, ses frères, et Macliau ne conserva sa vie qu'en s'exilant de son pays et de ses États. Enfin, ce prince passait pour le plus redoutable, le plus puissant et le plus inflexible scélérat de son temps. Il avait un château au pied de la montagne de Brëe; c'est pourquoi les évêques s'y assemblèrent pour l'excommunier. Il fut tué en 560, dans le combat que Chramne livra à Clotaire, roi de France, dans les environs de Guérande. Lc château de Conobre n'existe plus. Tropont, haute-justice; Collangrouh, moyenne et basse-justice, à M. de Kerprigent-Riou. Ce territoire est fertile et bien cultivé.

* Marteville et Varin (1843) :  PEDERNEC.  (sous l'invocation de saint Pierre); commune formée de l'anc. par. de ce nom, moins ses trèves Treglamus et Mousterus (voy. ces mots); aujourd'hui succursale. --- Limit. : N. Bégard, Saint-Laurent; E. Plouisy; S. Tréglamus; Louargat. --- Princip. vill. Rubabiou, Keraibailli, Squibernevez, Kerprigent, Collengroac'h, Keryiallain, Saint-Efflam, Hent-Guermeur, Run-an-Goff, les Fontaines, Kernevez-Houenan, Quinquis ou Plessix, Launay, Run-ar-Spern,  Minhir. --- Superficie totale : 2669 hect. 76 a., dont les princip. divis. sont 1 ter. lab. 1834; prés et pât. 291; bois 49; verg. et jard. 4; landes et incultes 323; sup. des prop. bat. 19; cont. non imp. 148. Const. div. 643; moulins 9 (de Kerdessay, Squibernevez. Maudé, Kerollan, Saint-Efflamm, de Conery, des Prés, du Pont, du Jaudy, à eau).
Selon M. de Blois, le nom de cette paroisse serait formé par composition des mots pedez, qui signifie quatre au féminin, et de cnec'h, montée, tertre éminence. Ce mot est particulier à l'ancien diocèse de Tréguier; dans les autres parties de la Bretagne on se sert des mots crec'h, creac'h, crac'h. --- ll est probable que l'étymologie que donne M. de Blois du nom de Pedernec se rattache à la présence en cette commune du Méné-Bré, l'une des montagnes les plus élevées de la Bretagne, et qui est partie en Pédernec, partie en
Louargat. Cette montagne, dont le sommet est a 301 m. au dessus du niveau de la mer, est couronnée par une petite chapelle dédiée à saint Hervé, et non à saint Jean, comme nous l'avons dit par erreur à l'article Louargat. Cet Hervé était un moine breton; il se trouva, dit-on, à l'assemblée des évêques qui, du haut du Mené-Bré, excommunièrent Commore. --- Cette chapelle fut, dans le XVllè siècle, l'objet d'un procès assez célèbre, entre les moines de Bégard et quelques familles nobles des environs, notamment celle des Ducleuziou, qui, outre des prétentions à la propriété de certaines parties du Bré, réclamaient, comme possédant une terre ramage de Guingamp, des droits féodaux sur le pardon de Saint-Hervé, et l'insertion de leurs armes (de Bretagne, à trois petits annelets de sable en abyme, 2 et 1 ), en bosses, vitres et peintures, dans divers endroits de l'édifice. Plusieurs enquêtes eurent lieu; plusieurs arrêts furent rendus; et il parait qu'en définitive, les prétentions de la famille Ducleuziou furent admises. --- Les pardons et foires de Samt-Hervé étaient et sont encore des plus fréquentés de Bretagne. --- Les deux foires out lieu le 2 août et le 22 septembre, jour Saint-Mathieu : le pardon de Saint-Hervé a lieu le 17 juin. --- Outre la chapelle Samt-Hervé, on remarque sur le Mené-Bré une fontaine qui, dit-on, ne tarit jamais, et qui est aussi sous l'invocation du saint. L'existence de cette source sur le point le plus élevé de tout le pays environnant, dans un rayon de huit à dix lieues, est un véritable phénomène physique. --- Selon la tradition, le fameux barde  Guin-Clan, dont M. de la Villemarqué a retrouvé les poésies dans une église des Montagnes Noires, près Morlaix, vécut en 450 sur le Mene-Bre. Guin-Clan, que les Bas-Bretons nomment le prophète, avait prédit  les révolutions des deux Bretagnes et la peste qui desola Guingamp en 1486. --- Ogée a omis, parmi les maisons nobles, la terre de Kermathaman, dont le manoir seigneurial existe encore, C'est un bâtiment assez
considérable, de l'époque du XVIè siècle, avec donjon, portes et fenêtres ornées de sculptures. Notre auteur a également omis Runégo, qui appartenait à la famille Rosmar. --- Pédernec s'honore d'avoir donné le jour, 1° à Jean de Langeneou, qui eut, dans son temps, beaucoup de célébrité; 2° a Yves Leclerc, inspecteur aux revues, qui mourut à l'armée d'Espagne en 1811. --- Près de la route de Lannion, et non loin de Guénésam, se trouve un menhir assez élevé, et voisin d'une belle carrière de granite, récemment ouverte. --- Géologie : constitution granitique; roches amphiboliques dans le sud-ouest; --- On parle le  breton. 
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* Régis de Saint-Jouan :

 Une émeute et plusieurs combats eurent lieu à Pédernec :

1) le 18 juin 1792, à la foire du tertre de Brée, des vendeurs refusèrent d'accepter des assignats, « ces gueux de papiers fripons ››. Une émeute éclata et des gendarmes furent maltraités. Quatre fauteurs de troubles furent condamnés par contumace à deux ans de détention le 16 mars 1793 (Arch. des C.-d”A., 102 L 65) ;

2) un combat eut lieu à Kerprigent le 30 juin 1944 et opposa un détachement allemand et huit hommes du groupe de Résistance de Pédemec ;

3) le 7 août 1944, le maquis attaqua et prit la localité en faisant cinquante prisonniers allemands.

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Maires de Pédernec : 1790 : LE BIHAN; 1794 : COUPIN; 1796 : Louis LE DRET; 1798 : Henri PASTOL; 1799 : Yves CLECH; 1803 : J. ANSQUER; 1808 : ROLLAND; 1809 : PASTOL; 1814 : Henri LE QUEMENER; 1815 : Charles LE BAUDOUR; 1830 : Yves PASQUIOU; 1831 : François BELLEC; 1846 : Jean LE BAUDOUR;  

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Patrimoine. Archéologie

seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs

Le bourg Ar bourg
Le menhir de Minhir au Quinquis, classé dès 1887 Peulven Min Hir ar Genkiz, bet enrollet adalek 1887
Sous-terrain de Placen Huellan, classé le 31 janvier 1958  
L'église Saint Pierre

Inscrite en partie le 23 novembre 1970

Iliz Sant Per
Le Méné-Bré et la chapelle Saint Hervé (XVIIè, XIXè)

Restaurée en 1939; Classée le 14 février 1962

Ar Menez-Bre hag ar chapel Sant Herve

Adkepennet e 1939; Enrollet e 1962

Chapelle Notre Dame de Lorette

(1514 - XVIIè) inscrite le 2 mars 1928

Chapel Itron Varia Loreta

(1514 - XVIIt)

Chapelle Notre Dame du Loc

(disparue)

Chapel Itron Varia al loc'h

(bet kollet)

Chapelle Saint Jude  
Chapelle sainte Anne de Saint Gonery (XVIè, XXè) Chapel Sant Goniri
Chapelle Saint Maudez (1704; XIXè) Chapel Sant Vaode
Chapelle Saint Nicodème  
Chapelle Saint Efflam  
Ménez Bré, sous la neige, Ier mars 2004 Menez Bré, dindan an erc'h, Deiz kentan a viz Meurzh 2004
Manoir de Kermathaman (1584) inscrit le 16 mau 1929 Maner Kervataman (1584)
Manoir de Runangoff (XVIIIè, XIXè) Maner Run ar Gov
Manoir du Quinquis (XVIè) Maner ar Genkiz
(ruines du) Château et colombier de Traupont (Tropont) Kouldri Traoupont
Croix de Squibernevez Kroaz Skibernevez
Site de la chapelle saint Hervé avec les collines du Ménez-Bré, inscrits le 30 juillet 1964  

Étymologie

* Marteville et Varin (1843) : "Selon M. de Blois, le nom de cette paroisse serait formé par composition des mots pedez, qui signifie quatre au féminin, et de cnec'h, montée, tertre, éminence. Ce mot est particulier à l'ancien diocèse de Tréguier; dans les autres parties de la Bretagne, on se sert des mots crec'h, creac'h, crac'h". 

Il est probable que l'étymologie que donne M. de Blois du nom de Pédernec se rattache à la présence en cette commune du Méné-Bré, l'une des montagnes les plus élevées de la Bretagne, et qui est partie en Pédernec, partie en Louargat".

* Régis de Saint Jouan (1990) : Pedernec, 1269.

* Bernard Tanguy (1992) : Parochia de Pedernec, 1269; Pedernec, 1330; ecclesia de Pedernec, vers 1330; Pedernec, 1452, 1461; Pedernac, 1465; en breton : Pederneg

"C'est, selon toute vraisemblance, le nom de Pédernec que l'on rencontre, sous une forme altérée, dans une charte apocryphe du duc en 1160. Celle-ci mentionne parmi les biens de l'Ordre des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, "l'aumônerie de Pederiac", établissement sans doute situé en Tréglamus ou en Moustéru (cf ces noms).

La finale en -ac du toponyme dans ce document n'est pas sans suggérer de voir dans Pédernec, un nom d'origine gallo-romaine en évolution bretonne, doublet de Pernay (I-et-L), noté Paternacus en 791, ou encore de Padarnac, en Pauillac (Gir), dérivés, avec le suffixe gaulois -acas, d'un nom d'homme Paternus. On ne peut cependant exclure l'hypothèse d'un dérivé en -ec de l'hagionyme Patern, en breton Padern ou Pedern."

* Erwan Vallerie : Pedriac, 1160; Pedernec, 1269; Bidernec, Pidernec, 1330; Podernec, 1516; Pedernec, 1592.

* Éditions Flohic (1998) : "la forme la plus ancienne du nom de la commune est Pederiac (1160, dont la finale -ac- peut laisser penser à une origine gallo-romaine développée à partir d'un fundus paterniacus. Elle peut aussi être mise en relation avec saint Patern, en breton Padern ou Pedern".

* Hervé Abalain (2000) : "Pedriac en 1160; Pedernec en 1269; de Patern / Pedern, Paternus en latin, évêque de Vannes et l'un des sept saints fondateurs de la Bretagne". 

* Petite brochure publiée par la Mairie de Pédernec : "Pederiac, 1160; Pederingnac, 1359"

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Observation JC Even : d'un nom de personne *Paternus (qui a donné en breton Padern, Pedern), avec suffixe latin -acum ou breton -ec. : " la fondation du dénommé Patern(us)", mais qui n'est pas obligatoirement une référence à l'évêque de Vannes, sachant que le prénom Paternus était largement porté.

On remarquera l'écriture quasiment inchangée depuis sa première mention écrite en 1269.

Personnes connues Tud Brudet
 Yves LE CLERC

(Pédernec, 1776 - Espagne, 1811)

 

Armorial * Ardamezeg

         
Bahulost          
seigneurs de Kermatheman et de Kerilis, en Pédernec

"d'azur à trois écus d'or"

"en glazur e zri skoed en aour"

Références et montres de 1481 à 1543

(PPC)

         

Vie associative et culturelle Buhez dre ar gevredadoù hah ar kultur
Armorial Ardamezeg
Fête du cheval breton au sommet du Menez-Bré, avec concours de poulains, le 15 août Gouel ar c'hezeg breton war beg ar Menez-Bre, gant konkour an eubeulien, d'ar 15 a viz Eost
GR 34 A; GR 341 GR 34 A; GR 341

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Croix et lavoir de Dourbont * Kroaz ha poull-kannañ Dourbont

Communes du canton de Bégard Parrezioù kanton Bear
Bégard Bear
Kermoroch Kervoroc'h
Landebaëron Lanberon
Pédernec Pederneg
Saint-Laurent Lanlaoron / Sant Laorans
Squiffiec Skinvieg
Trégonneau Tregonev

Communes limitrophes de Pédernec Parrezioù tro war do Pederneg
Bégard Saint-Laurent Plouisy Tréglamus Louargat

Sources

* Ogée : Dictionnaire de Bretagne; vers 1780; 

- Marteville et Varin, continuateurs et correcteurs d'Ogée. 1843. Éditions Régionales de l'Ouest. Mayenne. 1993.

- Anonyme (vers 1860) : Dictionnaire des communes des Côtes du Nord

* Adolphe Joanne : Département des Côtes du Nord. Hachette. 1878.

* Pol Potier de Courcy : Nobiliaire et armorial de Bretagne. Adembannadur Editions des Régionalismes. Cressé. 2011/2014

* J. Rigaud : Géographie historique des Côtes du Nord. 1890. Réédition La tour Gile. 1995.

* René Couffon : Recherche sur les églises primitives, dans Mémoires de la Société d'Émulation des Cotes du Nord, tome LXXV, 1945-46.

* Éditions Albin-Michel : Dictionnaire des communes de France. 1970.

* Michel de la Torre : Guide de l'art et de la nature. Côtes du Nord. Berger-Levrault éditeur. 1978. 

* Michel de la Torre : Guide de l'art et de la nature. Côtes du Nord. Nathan. 1985.  

* Régis de Saint-Jouan : Dictionnaire des communes . Département des Côtes d'Armor. Éléments d'histoire et d'archéologie. Conseil Général des Côtes d'Armor. Saint-Brieuc. 1990.

* Bernard Tanguy : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor. 1992

* Erwan Vallerie : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez. Corpus. An Here. 1995

* Éditions Flohic : Le patrimoine des communes des Cotes d'Armor. 1998.

* Hervé Abalain : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000. 

* Daniel Delattre : Les Côtes d'Armor; les 372 communes. Éditions Delattre. 2004.

Liens électroniques des sites Internet traitant de Pédernec / Pederneg

* lien communal : https://www.pedernec.fr/

* pajenn Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Pederneg

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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